Est-ce que ZeroWater élimine le mercure ?
L'eau potable ne doit contenir qu'un microgramme de mercure par litre. Le mercure est un métal lourd présent dans notre eau potable. Une consommation excessive de mercure peut présenter des risques pour la santé.
Qu'est-ce que Mercure ?
Le mercure, parfois appelé vif-argent, est un métal de transition blanc argenté. C'est le seul métal liquide à température ambiante. Il ne devient solide qu'à -38,87 °C. C'est un bon conducteur d'électricité, mais il est peu conducteur de chaleur. Les alliages métalliques contenant du mercure sont appelés « amalgames ». Le mercure figure dans le tableau périodique sous le symbole Hg et le numéro atomique 80.
Comment le mercure se retrouve-t-il dans l’eau potable ?
Le Lignes directrices de l'OMS pour la qualité de l'eau potable La directive sur le mercure stipule que la concentration de mercure dans l'eau potable ne doit pas dépasser 1,0 μg (microgramme) par litre. Le mercure peut se retrouver dans notre eau potable de diverses manières. Il peut être libéré lors de la combustion de combustibles fossiles, de l'exploitation minière et de l'incinération des déchets. Il précipite et finit par se retrouver dans les eaux de surface.
Le mercure a de nombreuses applications, bien que d'autres alternatives soient de plus en plus choisies en raison de sa forte toxicité. Par exemple, la plupart des thermomètres actuels n'utilisent pas de mercure, mais de l'alcool. On le trouve également dans les lampes fluorescentes, les lampes à économie d'énergie, certaines piles et certains pesticides. En raison de la forte toxicité des vapeurs de mercure, le mercure est interdit dans la plupart des usages domestiques, mais il reste largement utilisé dans l'industrie. Le mercure est donc parfois libéré lors du traitement des déchets industriels, ce qui rend l'eau du robinet impure via les eaux de surface.
Certains types de poissons sont également une source de mercure. Les poissons prédateurs, comme le thon, l'espadon et le requin, absorbent beaucoup de mercure via la chaîne alimentaire. Essayez de limiter votre consommation de poissons riches en mercure et optez pour des aliments plus sains comme le saumon, le hareng et les anchois.
Quels sont les effets du mercure sur la santé ?
En Chine, on croyait autrefois que le mercure rendait immortel : c’est pourquoi le premier empereur Qin Shi Huangdi est mort d’une intoxication au mercure. Aujourd’hui, la forte toxicité du mercure est bien connue. Une exposition répétée au mercure peut entraîner son accumulation dans l’organisme. Lorsque ce mercure s’oxyde dans le sang, il se lie aux protéines des reins, où il peut causer des dommages importants. Le mercure est également dangereux pour :
- le foie;
- le cerveau;
- le système nerveux.
L'expression anglaise « fou comme un chapelier » provient également de l'intoxication au mercure. Le mercure était autrefois utilisé pour démêler les poils des animaux, et le feutre était fabriqué à partir de vapeurs de mercure. Les chapeliers étaient ainsi exposés à d'importantes quantités de mercure, ce qui entraînait des lésions cérébrales.
Les femmes enceintes doivent prêter une attention particulière à leur consommation de mercure. Avant que l'oxydation du mercure dans le sang ne soit complète, celui-ci peut traverser le cerveau et la barrière placentaire. Le mercure peut alors s'accumuler dans le cerveau ou le fœtus.
Le mercure, comme d'autres métaux lourds, est un inhibiteur irréversible. Cela signifie qu'il endommage irrémédiablement la structure de certains acides aminés des protéines. Ces dommages sont permanents et irréparables.
Est-ce que ZeroWater filtre le mercure de l’eau du robinet ?
Oui, ZeroWater filtre 91 % du mercure de l'eau du robinet. Le système de filtration Premium à 5 étapes avec changeur d'ionisation élimine davantage d'impuretés que les filtres standard à 2 étapes. Lors du test, ZeroWater a fait analyser 150 litres d'eau filtrée (soit le double de la dose prescrite) par un laboratoire externe certifié indépendant. Les résultats sont basés sur le protocole de test NSF/ANSI des équipements à circulation continue pour les contaminants répertoriés dans les normes nationales sur l'eau potable.